« Hope is the only thing stronger than fear »

« T'es comment ?»

» Caractère : Amy est du genre à trop réfléchir. Dès qu'elle doit faire quelque chose, elle se pose des questions. Après tout, avec des "et si ?" on referait le monde non ? Et pour cause, la petite est plutôt du genre peureuse et a peur des répercussions que certaines actions pourraient avoir sur elle et son avenir. Elle aime bien que les autres la voient d'une façon plutôt positive, et elle fera tout pour que cela arrive. Malgré tout, elle reste une adolescente en pleine crise qui a son petit caractère à elle : quelqu'un qui vient lui chercher des noises, il en trouvera, et pas des petites ! Impulsive dans ce genre de moment, Amy peut en arriver quelque fois aux mains et ce, même si elle essaye de toutes ses forces de se retenir. N'ayant que très peu connue sa mère, Amy est plutôt du genre à couver tout le monde, surtout les personnes plus jeunes qu'elle. Elle a été élevée dans la perfection, son père voulant qu'elle excelle partout. Amy, à cette époque, faisait bonne figure en écoutant tous les conseils qu'on lui donnait, que ça soit de la part de son père ou de personnes extérieur. Mais, au fond, la jeune fille ne souhaitait qu'une chose : s'évader de tout ça. Enjouée et souriante, Amy était et est toujours le genre de personnes qui arrivent facilement à se faire des amis. Bien entendu, on ne peut pas être aimé de tout le monde, et on ne peut pas aimer tout le monde non plus, mais si la jeune femme a bel et bien appris quelque chose durant les sermons de son père, c'est qu'il ne faut jamais juger quelqu'un sur son apparence et encore moins sur sa façon d'être. Et le plus important est que, Amy est comme le jour et la nuit : un jour, c'est la fille la plus heureuse au monde, et le lendemain, elle est la fille la plus malheureuse qu'il puisse exister.

» Physique : Ce qu'Amy a toujours préféré chez elle, c'est ses cheveux. Ses longs cheveux violets aux multiples reflets blancs lui rappelle énormément sa mère qui possédait autre-fois les mêmes. Amy a donc prit l'habitude d'avoir toujours de longs cheveux, lâchés ou attachés, peu importe. Amy a aussi de grands yeux rouges, qui changent d’intensités par rapport à son humeur : si elle est énervée ou en colère, ses yeux deviennent rouges foncés. Au contraire, si elle est contente et heureuse, ils deviennent plus clairs. Amy mesure 1 mètre 65, ce qui est, de son avis, plutôt une taille assez grande pour une fille de son âge. Elle ne pèse que 49 petits kilos, mais attention, elle n'est pas squelettique ou autre. Depuis toujours, elle aime et pratique de nombreux sports, ce qui lui a permis d’obtenir quelques muscles dont de léger abdominaux. Amy aime prendre soin d'elle, et c'est donc avec précision que tous les soirs, la jeune femme se pomponne avec des crèmes et autres. Encore et toujours la perfection, enfaite. Amy sait user de ses charmes pour obtenir ce qu'elle veut, et, grâce aux sports comme la gymnastique ou le patinage, elle a réussit à devenir très agile, ce qui est très pratique pour éviter les coups dans un combat... Mais c'est aussi pratique pour éviter de glisser à tout bout de champs !

« On veut tout savoir ! »

Amy Rose Anna Williams est née comme presque tout les enfants : normalement, avec deux parents. Encore bébé, Amy ne se rendait pas compte de ce qui se tramait autour d'elle. Les disputes entre ses parents, elle les entendait, c'était certain, mais elle ne pouvait pas les comprendre. Les années passèrent relativement vite, si on oublie le fait que son père ne cessait de l'ignorer. Encore jeune, Amy pensait que sa mère était la seule chose qu'il lui fallait dans sa vie pour être heureuse. Son père, pour elle, n'en était pas un. Il n'était qu'un monsieur qui embrassait sa maman, et qui partait au travail pour y revenir très tard le soir. A cinq ans, la petite fille fit alors sa première erreur : elle réclama pour noël un petit frère ou une petite sœur à sa mère. Celle ci lui avait alors dit que cela n'était pas possible parce qu'un enfant ne se commandait pas. Ne comprenant pas la situation, Amy tenta une nouvelle fois cette demande à son père. Celui ci ne réagit pas du tout comme sa mère, au contraire. La petite fille, innocente, connue pour la première fois la douleur d'une gifle. Ce n'est que plus tard, exactement deux années après cet événement que sa mère, un soir de pluie, lui expliqua alors que sa grossesse c'était mal passée et qu'elle ne pourra plus jamais avoir d'enfant. La petite fille grandit alors en pensant que tout était de sa faute. Pensées qui furent appuyées par son père, devenu de plus en plus irritable par le fait qu'il n'aura jamais d’héritier, mais bel et bien une héritière. Il prit alors l'éducation d'Amy en mains, malgré les protestations de sa femme. Il lui apprit ce qu'il appelait les bonnes manières, n’hésitant pas à la punir de dîner si elle commentait le moindre faux pas. Les années passèrent, et bientôt, Amy fut âgée de 11 ans. Ce fut l'année de la mort de sa mère, ainsi que de la plupart de sa famille. Un soir de fête, au manoir familiale, alors qu'Amy se trouvait à l’extérieur avec les autres enfants, son père et quelques membres de la famille, un incendie venant des cuisines prit feu, ravageant en quelques minutes la grande bâtisse. Les pompiers et secours arrivèrent trop tard, et ce fut la moitié de la famille d'Amy qui mourut ce soir là, sous les yeux impuissants des autres membres. Pourtant, après cette catastrophe, le père d'Amy tenta de se rapprocher d'elle. Mais celle ci, ayant encore les souvenirs des manières dont son père l'avait éduqué étant plus jeune gravés dans sa mémoire, refusa. Mais bien vite, elle se rendit compte que son père était la dernière personne sur terre qui pouvait réellement comprendre sa douleur. Ils avaient tous deux perdus des êtres chers durant cette tragédie. Après avoir pris la décision de se rapprocher de son père, celui ci commença à avoir plusieurs problèmes d'argent, et il fut moins souvent présent dans leur nouvelle maison, plus petite, mais toujours aussi cher. Aux 16 ans d'Amy, son père lui apprit alors qu'elle partirait pour le pensionnat Dornel, et celle ci fut obligé d'accepter tout en se disant que de toute manière, ça ne changerait pas grand chose.